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La tendance des covers
« Faire des réinterprétations de chanson » : c’est un terme has been actuellement. On parlerait plutôt de cover. Depuis quelques années, la reprise est une tendance qui a le vent en poupe. Certaines sont même plus célèbres que les titres elles-mêmes. Très apprécié par les jeunes, sujets à controverse pour les personnes d’un certain âge, retour sur la réussite des Covers.
A chacun sa version d’un même titre
Les covers consistent à utiliser les mêmes paroles et les mêmes sons, mais à des rythmes et parfois des tonalités différentes. Il faut avoir une certaine maitrise de la musique pour réussir une telle réinterprétation. Il ne s’agit en effet pas seulement de refaire la chanson comme dans sa version originale. Il faut imposer son propre environnement musical dans le but de séduire les fans, mais aussi d’éviter certaines poursuites judiciaires à cause de la loi sur la propriété intellectuelle. Selon ces textes, le copier-coller d’une œuvre peut être puni d’amende et de peine de prison. Une problématique qui ne touche pas les covers pour deux raisons :
– Les artistes sont rares à porter plainte, car la reprise leur permet une meilleure visibilité
– Les covers ne sont pas des copies conforts des titres originaux
Des chaînes YouTube qui fonctionne
Le métier de youtubeur est plus que jamais renommé. Outre les comédiens et les stars de téléréalité, cette plateforme de stockage de vidéo permet aux quelques talentueux de partager leur réalisation, parfois sous réserve d’un certain payement venant de la marque pour chaque « j’aime ».
Des covers pop ou rocks, des traductions en tout genre et des compilations, voire bien d’autres : il y en a pour tous les gouts sur le Net. Certains reprennent même les chansons culte des films et des films d’animation Disney.
Ce domaine possède même ses références. Les grands pontes du cover français sont entre autres Sara’h, Chloé ou encore Kéo. Pour information, on peut juger la notoriété d’un artiste cover en fonction du nombre d’abonnés à sa chaîne YouTube et non au nombre de mashup qu’il ou elle est à même de poster par semaine.
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